Le lettre Ecossaise de Benjamin

Après le magnifique reportage de Thierry Couret, Benjamin Delamotte , nous fait la gentillesse de nous écrire quelques mots sur ses 6 jours d'Ecosse,

Décidemment nos amis nous gâtent   Merci a eux

Salut Jean,

He bien me voici de retour d’Ecosse après une superbe semaine qui avait des airs de 5 jours du Verdon. Malgré la pluie lors de la parade du Dimanche tous les éléments étaient réunis à partir du Lundi matin pour se faire plaisir. Soleil, bonne température, zones splendides mais malheureusement pour moi j’ai roulé à côté de mes bottes. Il m’a fallut prêt de 4 jours pour commencer à bien rouler (heureusement que ça dure 6 jours !!).

Il me semble que tout le monde s’est régalé et à pu faire de belles choses. C’est la première année que je m’arrête dans l’interzone pour regarder le paysage et j’en ai pris plein les yeux. Malgré un nombre record de gaufres dans l’interzone (c’est la première année que je tombe autant) les réceptions sont amortis par ces bons vieux bugs bien gras.

Bravo à nos trois new comers, Yves Karst 68, Thomas Toussaint 74 et Serge Puzin 94 qui ont su se faire plaisir dans ces zones et donner une image festive et entrainante de la délégation Française. Au passage je pense que Yves Karst a démontré une pleine communion avec la nature en s’infligeant des bains de boue quotidien dans l’interzone, ce qui a beaucoup fait marrer Thomas et Serge qui étaient à chaque fois aux premières loges.

 

Sur les photos jointes tu peux voir un mémorial à Colin Mc Rae que tous les pilotes ont signé et qui fut vendu aux enchère lors de la cérémonie de remise des prix.

Aussi une fil de 200 motos le Jeudi car un camion de ravitaillement a cassé et pas d’essence pour les pilotes. Certains comme Le Team de La Bresse et les autres Français ont attendu prêt de 2h30. Ce n’était arrivé qu’une seule fois dans l’histoire des SSDT.

Et aussi un peu de neige dans l’interzone, sympa le par l’avant quand t’arrive dedans en descente !

 

Donc nous voilà tous revenus avec des souvenirs plein la tête et pas de mots assez fort pour exprimer ce que l’on a vécu.

 

A +

 

Ben